Source : Partenaire EOS ALLOCATIONS – Conseil indépendant en allocation d’actifs
« Les informations présentées ici ont un caractère exclusivement indicatif. Elles ne constituent pas un conseil en investissement. Les informations n’ont aucune valeur contractuelle et la responsabilité de Ciméa Patrimoine ne saurait être mise en cause en raison de son contenu. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.
Les investissements présentent notamment un risque de perte en capital. Il convient de vous rapprocher de vos conseillers financiers, juridiques et fiscaux qui procéderont à une analyse de votre situation. ».
ACTIONS : la course continue !
La stabilisation du nombre de contaminés par le Coronavirus aux Etats-Unis profite au S&P500 qui fait la course en tête au niveau mondial (+7%). Il est toujours emmené par les GAFAM, notamment Apple, Amazon et Microsoft. Il efface en totalité la baisse du mois de mars avec une performance de +8,34% depuis le début de l’année. L’Europe remonte mais accuse toujours un retard par rapport aux US avec une hausse de +3.90% pour le MSCI Europe, freiné par le retour du virus.
Le match de ce mois-ci pas n’est pas un match de style. Les valeurs de «croissance» (sociétés dont la croissance des bénéfices et supérieure à celle du marché) et les valeurs dites «value» (actions délaissées par le marché) affichent pratiquement la même performance en Europe (+2,62% pour le style croissance et +2,73% pour le style value). La différence s’est faite sur la taille de capitalisation et le caractère défensif ou non des titres.
Les sociétés de petites capitalisations (+5,54% pour l’indice MSCI Europe Small Cap) surperforment les grandes (+2.17% pour le MSCI Europe Large Cap) pour le 5ème mois d’affilée.
Les valeurs défensives comme les services aux collectivités (-1.43%) et le secteur de la santé (-1.02%) accusent le coup face aux valeurs plus agressives comme le secteur de la Technologie (+4%) et aux valeurs cycliques, notamment le secteur industriel (+6,86%) ainsi que le secteur de la consommation discrétionnaire (+8%).