Le mois de juillet a été un mois très hétérogène voire contre intuitif. Les actions sont fortement montées dans les émergents et aux US mais ont baissé en Europe.
L’administration fiscale ne peut pas faire tout ce qu’elle veut. C’est ce que vient de rappeler la deuxième chambre civile de la Cour de cassation dans un arrêt daté du 2 juillet 2020, qui risque de faire jurisprudence.
Le mois de juin s'est avéré paradoxal. Les indices boursiers ont continué leur rallye haussier. Certains indices, à l'instar du Nasdaq, ont même affiché de nouveaux records. D'un autre côté, la crise sanitaire s'aggrave.
Selon un large panel de professionnels de la finance, les principaux indices boursiers devraient afficher une légère baisse à la fin de l'année. Les marchés boursiers devraient presque retrouver en décembre leur niveau d’avant la crise du Covid-19.
Le proverbe boursier «Sell in May and go away» («vends en mai et pars») n'aura pas fonctionné cette année. En effet, au fur et à mesure que les mesures de confinement s'allégeaient, les marchés d'actifs risqués se sont appréciés.
Plus d'une nouvelle pension sur sept présente une erreur, dont les deux-tiers au détriment de l'assuré, pointe un rapport de la Cour des comptes. D’où l’intérêt de préparer son départ à la retraite.
Les espoirs de déconfinement (permis par le franchissement du pic épidémiologique dans de nombreux pays) et les efforts colossaux des institutions (gouvernements + banques centrales), ont offert un second souffle aux marchés.
Six entreprises cotées sur dix ne devraient pas verser de dividendes ou nettement moins à leurs actionnaires, compte tenu de la crise économique sans précédent provoquée par l’épidémie de Covid-19.